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Cache-Cash Mortel - Hubert Letiers

20,50 

Auteur : Hubert Letiers

Catégorie : Policier / Thriller

Parution le : 06/11/2018

Également disponible sur :

Sarah Stern, journaliste d’investigation classée « RIE – Rebelle aux Intérêts de l’État », part en Chine pour clore une enquête qu’elle mène depuis plusieurs mois. Moins de vingt-quatre heures après son retour à Paris, sa tête est retrouvée trônant au milieu d’un billard placé sur le parvis Notre-Dame un dimanche de Pâques, dans une mise en scène macabre.

ISBN 978-2-490098-60-6

Format 14*21cm

Broché - 268 pages

 

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Les lecteurs donnent leur avis sur "Cache-Cash Mortel"

Thierry, le 16 novembre 2018 (Amazon) : "Un polar digne des plus grands auteurs du genre"

Je ne saurais trop que le conseiller. C'est un thriller extrêmement captivant. Quand on le commence, on ne s'arrête plus avant de connaître la fin. C'est un livre de tout premier plan qui confirme le talent de cet auteur, Hubert LETIERS, après la parution de son précédent roman qui valait également le détour "Meurtres en haut lieu".
Noël approche et c'est le moment d'en profiter, vous ne serez pas déçu.

Marielle, le 20 novembre 2018 (notre gagnante du jeu-concours "Cache-Cash Mortel" : "Je vous recommande ce livre"

Je suis bien contente d’avoir gagné ce livre ... au premier abord je n’aurais pas acheté ce livre... un policier plongeant dans le monde politique... on est déjà bien servis dans la vraie vie... mais je l’ai dévoré et adoré.... loin du style Chattam ou Grangé ... je vous ferai qd même frissonner en citant Chattam qui dit que la réalité est souvent pire que la fiction.....

Je dirais que c'est un policier littéraire : si on s’affranchit d’un vocabulaire assez érudit, où il ne faut pas se laisser impressionner par le vocabulaire employé, on prend vite plaisir au style de l’auteur.
Je vous recommande ce livre !

Philippe, le 17 décembre 2018 (Amazon) : "Diaboliquement efficace"

Hubert Letiers maîtrise l'histoire jusque dans les moindres détails.
Du coup, on n’est jamais perdu, tout se tient, sans que les rebondissements soient prévisibles.
Le style est de grande qualité, hyper adapté au genre, sans en faire trop.

Hélène, le 25 janvier 2019 (sur Facebook) :

Hubert Letiers nous offre une balade croustillante dans les arcanes du pouvoir où la main droite ignore ce que fait la main gauche, au nom des intérêts suprêmes de l’État. Qui se résument parfois au seul pognon. L’argent n’a pas d’odeur, c’est bien connu. Tout ça fait froid dans le dos. Conclusion : réfléchir avant de poser son bulletin de vote. Polar brillantissime et très bien écrit. À lire d’urgence.

Espérance, le 28 janvier 2019 (Amazon) : "Brillantissime"

La tête d’une journaliste est retrouvée devant la cathédrale de Paris dans une mise en scène spectaculaire. Sarah Stern était une journaliste d’investigation, une emmerdeuse patentée, qui avait le chic de se faire beaucoup d’ennemis. Elle revenait d’un voyage en Chine où elle enquêtait sur des réseaux de trafiquants de drogue. L’affaire est entendue, elle s’est montrée trop curieuse à l’égard des triades chinoises qui lui ont réglé son compte. Justice comme police semblent pressées de classer ce meurtre au plus vite. Seulement, les restes de cette malheureuse sont découverts cachés dans la voiture du procureur en charge du dossier, qui sera abattu quelques heures plus tard. Pas si simple, donc. En tout cas le commissaire Huysman en est convaincu. Ce flic désabusé, flanqué de sa collaboratrice complètement timbrée, Feng Lee, se lancent dans la résolution de cette étrange histoire, dans une atmosphère délétère où plane l’ombre des service secrets. Huysman, qui n’est pas né de la dernière pluie, comprend assez vite que la journaliste n’a pas été assassinée pour des raisons mafieuses et que cette enquête périlleuse pourrait bien lui coûter la vie. Quel secret cette femme a-t-elle découvert ? Quel rôle jouent les barbouzes de la République ? Hubert Letiers nous offre une balade croustillante dans les arcanes du pouvoir où la main droite ignore ce que fait la main gauche, au nom des intérêts suprêmes de l’État. Qui se résument parfois au seul pognon. L’argent n’a pas d’odeur, c’est bien connu. Tout ça fait froid dans le dos. Conclusion : réfléchir avant de poser son bulletin de vote. Polar brillantissime et très bien écrit. À lire d’urgence.

Un client d'Amazon, le 7 février 2019 : "Inattendu mais efficace"

Fidèle à son credo de fiction à suspense, entre polar et révélation, cet auteur livre ici un second roman publié aux éditions Inspire. J’ai trouvé le millésime bon.
L’écriture est ciselée, assez littéraire sans être conventionnelle, mais sans fausse littérature ni redondances. Bref, très agréable à lire, surtout pour un roman policier.
Le style et l’architecture du livre servent de bout en bout une intrigue robuste, avec un vrai suspense. L’histoire est bien documentée, là aussi sans superflu.
Les personnages, (un commissaire toujours perplexe, une jeune lieutenant déjantée et au QI abstrait, un agent de la DGSE à la mégalomanie meurtrière et une magistrate psychorigide et vindicative), pour ne citer que les plus singuliers, sont détourés avec une minutie chirurgicale, ce qui les rend crédibles et parfois plus vrais que nature.
La fiction, (construite autour d’une intelligence occulte entre État français et triades chinoises), était un scénario plutôt osé, sinon casse-gueule.
Le piège des clichés, du type « guerre des polices » ou « romance virile », aurait pu la rendre insipide ou imbuvable. Il n’en est rien. L’histoire ne tombe à aucun moment dans ce travers.
Au contraire, en rebondissant avec agilité sur certaines tristes vérités de notre contexte judiciaire et politique, l’auteur a su ériger une intrigue captivante et très/trop plausible.
Résultat, au fil des pages, fiction et réalité se superposent de manière confondante, presque dérangeante. Le politiquement correct y vole complètement en éclats. On plonge sans élan et les pages défilent.
Comme tout polar réussi, les scènes d’action sont bien amenés et les (vrais) rebondissements aussi imprévisibles que bien dosés.
Enfin, pour le plus grand bien du livre - pour le mien en tous cas - cynisme et haute-tension psychologique prévalent sur le trash. Certes les macchabées ne sont pas en reste. Mais l’intérêt et la force de ce roman réside surtout dans les personnages dont les caractères dynamisent l’intrigue.
Conclusion, une belle partition avec du groove, bien en marge des sentiers battus et bien interprétée.

La quatrième de couverture

Sarah Stern, journaliste d’investigation classée « RIE – Rebelle aux Intérêts de l’État », part en Chine pour clore une enquête qu’elle mène depuis plusieurs mois. Moins de vingt-quatre heures après son retour à Paris, sa tête est retrouvée trônant au milieu d’un billard placé sur le parvis Notre-Dame un dimanche de Pâques, dans une mise en scène macabre. Avant la fin de la journée, le reste de son corps démembré est découvert dans le coffre de la voiture du procureur chargé de l’enquête, lui-même abattu peu de temps après sous les yeux des officiers de police judiciaire.

Qui a tué Sarah Stern ? Pourquoi ? Qu’était-elle partie faire en Chine ? Pourquoi le procureur saisi du dossier a-t-il été assassiné aussitôt nommé ? Qui a déposé le reste du corps de Sarah Stern dans son coffre et pourquoi ? Autant de questions insolubles pour le commissaire Huysman, à qui l’on demande de bien vouloir enterrer l’affaire au plus vite. Le flic du 36 restera-t-il un pion ou deviendra-t-il lui-même une cible ?

Une spirale mortifère dans un univers fait de vérités en trompe-l’œil, de trahisons avérées et de déchéances programmées : celui des donjons du Pouvoir, des caves de la Justice et de l’arène des narcotrafiquants. Un univers dans lequel un seul mot prévaut sur le reste : l’argent.

Jeu Concours : gagnez un exemplaire de "Cache-Cash Mortel" !

Aujourd'hui 23 octobre 2018, nous lançons un jeu-concours pour vous faire gagner en avant-première un exemplaire du nouveau thriller d'Hubert LetiersCache-Cash Mortel.

Vous pouvez participer jusqu'au lundi 5 novembre à minuit.

Coup de coeur du comité de lecture du festival de polar Le Chien Jaune (juillet 2019)

Cache-Cash Mortel, coup de coeur du Chien Jaune
Hubert Letiers au Chien Jaune
Hubert Letiers au Chien Jaune

Interview de l'auteur : Hubert Letiers

Les Éditions Inspire : Hubert, ravis de vous revoir pour ce second thriller que vous nous confiez. Vous revenez donc aujourd'hui avec Cache-Cash Mortel. Pouvez-vous nous raconter la genèse de ce nouveau roman ?

Hubert Letiers : Cache-cash mortel est la fève d’une de ces tartes à la crème dont nous gave périodiquement le politique par médias interposés. Dans le cas présent, la tartelette en question est celle de la légalisation ou non du cannabis. Observant la « Samba » qui électrise parfois les débats parlementaires sur ce sujet — sans toutefois jamais aboutir à une réglementation claire et surtout exploitable par le Judiciaire —, je me suis alors posé cette éternelle question : à qui pourrait le plus profiter cet enfumage méticuleusement orchestré ?

Mais dès lors qu’on s’interroge sur la nature d’un profit et l’identité de ses bénéficiaires, tombe inéluctablement la question préalable des vrais enjeux, tant financiers que politiques et sociaux. Et là, force est de découvrir que, même bien irrigués à l’hypocritement correct, les plants de cannabis cachent mal les incroyables profits issus de l'industrie souterraine des psychotropes réputés durs.  

Toutes drogues confondues, l’enjeu pécuniaire s’élève à plusieurs centaines de milliards ! Rien de surprenant donc, à ce que les mentors de nos démocraties déficitaires échafaudent des scénarios tordus, pour en injecter — légalement ou presque — une partie significative dans leurs sacro-saints PIB. Une pernicieuse préoccupation qui, elle aussi, apparaît furtivement et toujours en filigrane de quelques pertinentes chroniques économiques, hélas trop confidentielles. Déni de salubrité publique oblige.

Mon cerveau s’est alors mis à imaginer un sordide et inavouable pacte avec le diable…

 

Les Éditions Inspire : Dans Cache-Cash Mortel, vous abordez donc un thème qui laisse peu de place à l'improvisation — le blanchiment de l'argent lié au trafic de drogue. Comment avez-vous travaillé sur ce roman ?

Hubert Letiers : Avant même d’écrire la première ligne, Cache-cash mortel  a nécessité quatre mois de consultation d'archives de presse spécialisée, mais aussi d’échanges avec des acteurs du monde judiciaire. Quand j’imagine une fiction policière, aussi licencieuse soit-elle, mon premier souci reste le même : sa crédibilité. La cupidité meurtrière peut (et doit) bien sûr y violer toutes les valeurs morales et civiques — rattrapant alors parfois la réalité à son insu —, mais il lui faut rester contextuellement cohérente. Pas question de défigurer le paysage judiciaire ni transgresser tous ses codes. Le développement d’une intrigue doit s’appuyer sur les infrastructures qu’offre le réel, lesquelles demeurent le meilleur rempart contre l’invraisemblance. Enfin, selon moi, même sous l’éclairage d’une fiction extrême, un polar doit aussi suggérer au lecteur une forme de dévoilement, de questionnement.

Ensuite, moins de quinze jours m’ont été nécessaires pour concevoir la charpente de l’intrigue ; un mois pour le profilage des personnages principaux, puis cinq mois pour en écrire le premier jet, suivi d’une pause d’analyse, avant d’accomplir l’une des tâches les plus déterminantes dans un roman : donner du groove parce qu’un polar reste avant tout un divertissement, ébarber les redondances, tamiser tout ce qui n’apporte rien à l’histoire, gommer les absurdités, vérifier que rien ou presque n’est « téléphoné » ou incohérent, et apporter de la fluidité sans tomber dans un style minimaliste.

 

Les Éditions Inspire : Êtes-vous sorti indemne de tous ces entretiens que vous avez menés  ?

Hubert Letiers : Indemne, oui, enfin je crois. Étonné, sans l’ombre d’un doute ! Non pas par la perversité et la schizophrénie inhérente aux gens de pouvoir. Cela, mon expérience professionnelle s’en est chargée jusqu’à complet sevrage. Mais étonné par l'écœurement et le fatalisme de certains hommes et femmes de loi face à l'impunité dont jouissent durablement certains cadors de la transgression institutionnelle. 

  

Les Éditions Inspire : Vos personnages, et notamment votre duo d'enquêteurs, le commissaire Stan Huysman et la lieutenant Feng Lee, ainsi que le chef du service Action de la DGSE, Mariani, nous apparaissent de chair et d'os pour nous, lecteurs. Comment avez-vous travaillé sur vos personnages ?

Hubert Letiers : Pour servir une intrigue « borderline » et la rendre aussi vivante que convaincante, il me fallait des personnages qui se démarquent des standards du genre. Des caractères trempés, voire atypiques, pourvus de compétences improbables et affublés de vécus éclectiques. Tout cela sans verser dans l’iconoclaste forcené ni sombrer dans la caricature ou le cliché. Pour chaque personnage, j’ai donc toujours amalgamé deux profils : celui d’une source intervenue dans mes recherches préalables, (cohérence de la fonction et du milieu), avec celui d’une personne durablement côtoyée dans ma vie, (authenticité du caractère).

Pour exemples : Mariani résulte du métissage entre un ex-agent des RG rencontrés en Asie, et l’associé peu scrupuleux d’un fonds d’investissement anomique. Et pour la jeune lieutenant Feng Lee, j’ai greffé les gènes d’un agent du SRPJ sur ceux d’une jeune universitaire franco-chinoise, surdouée mais incapable de négocier avec la sincérité, (la fille d’un ami).

 

Les Éditions Inspire : Travaillez-vous sur un autre projet ? Et avez-vous quelque chose à ajouter ?

Hubert Letiers : Oui. Un nouveau thriller dont l’intrigue s’inspire, elle aussi, d’un déni de salubrité publique, celui-ci de nature tout à fait différente, mais qui présage d’effets dévastateurs sur la génération Z.

À l’heure où je réponds à cette interview, je suis toujours en phase active de collecte d’informations auprès de professionnels de la médecine, également de chercheurs universitaires européens, pour exhumer d’accablantes études scientifiques sur les effets induits de certaines technologies déployées depuis le début du millénaire… Fin de l’incipit « nouveau projet ».

D’une façon générale, j’essaie dans mes polars d’éviter le piège de ce que les anglo-saxons nomment « small talk », ce qui m’impose de jouer avec les lignes, tant au niveau des scénarios que dans l’écriture elle-même.

C’est un choix délibéré. Et à ce titre, je ne peux que remercier mes bêta-lecteurs et lectrices, ainsi que mon éditeur, non seulement pour la confiance qu’il vient une nouvelle fois de m’accorder, mais aussi pour sa clairvoyance et son aide très précieuse en matière d’anatomie du récit.

Entretien réalisé le 16 octobre 2018.

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Quelques mois avant les élections présidentielles, un étrange manuscrit signé « EOS » est envoyé aux éditions Galfon. L’assassinat de 32 hommes de pouvoir y est méthodiquement décrit. Rien d’alarmant, jusqu’au jour où la fiction devient prophétie avec le meurtre réel des premiers personnages du roman.

Catégorie : Policier Thriller

Publié le : 01/06/2017

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